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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 21:02

 

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 19:58

 

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 23:36

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noballgamesbanksy

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 12:32

 

 

La marche à pied, ou à mains,apprendre à se tenir debout et finalement marcher, la marche pour voyager, pour être indépendant, le moyen de locomotion sans pollution, qui fait marcher le corps, un pas, ou des milliers, ou encore ce proverbe chinois "Un voyage de mille pas commence par un pas". Pas d'essai sur la marche et son sens, juste quelques références.

Et, L'ivresse de la marche, petit manifeste en faveur du voyage à pied, d'Emeric Fisset. Coll. Petite philosophie du voyage, Ed. Transboréal.

 

Amélie les crayons sur l'album "La porte-plume"

 

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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 22:53
 

 

J'arrive où je suis étranger    Rien n'est précaire comme vivre     Rien comme être n'est passager     C'est un peu fondre comme le givre     Et pour le vent être léger    J'arrive où je suis étranger    Un jour tu passes la frontière    D'où viens-tu mais où vas-tu donc    Demain qu'importe et qu'importe hier    Le coeur change avec le chardon    Tout est sans rime ni pardon    Passe ton doigt là sur ta tempe    Touche l'enfance de tes yeux    Mieux vaut laisser basses les lampes    La nuit plus longtemps nous va mieux     C'est le grand jour qui se fait vieux     Les arbres sont beaux en automne    Mais l'enfant qu'est-il devenu     Je me regarde et je m'étonne     De ce voyageur inconnu     De son visage et ses pieds nus     Peu a peu tu te fais silence     Mais pas assez vite pourtant     Pour ne sentir ta dissemblance     Et sur le toi-même d'antan     Tomber la poussière du temps     C'est long vieillir au bout du compte     Le sable en fuit entre nos doigts     C'est comme une eau froide qui monte     C'est comme une honte qui croît     Un cuir à crier qu'on corroie     C'est long d'être un homme une chose     C'est long de renoncer à tout     Et sens-tu les métamorphoses     Qui se font au-dedans de nous     Lentement plier nos genoux     O mer amère ô mer profonde     Quelle est l'heure de tes marées     Combien faut-il d'années-secondes     A l'homme pour l'homme abjurer     Pourquoi pourquoi ces simagrées     Rien n'est précaire comme vivre     Rien comme être n'est passager     C'est un peu fondre comme le givre     Et pour le vent être léger     J'arrive où je suis étranger



On veille on pense à tout à rien   On écrit des vers de la prose    On doit trafiquer quelque chose   En attendant le jour qui vient...

 
 
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 01:15
Chi va piano va sano

assumer sa différence et sa bizarrerie sans cesse face à certains autres, et supporter souvent les mêmes remarques quand à ces "particularités"... calme, le mime est fait pour elle, immobile, figer les frissons qui courrent dans les veines et remonter au cerveau.
peu importe... en fin de compte, les sentiments ressurgissent, l'envie de comprendre la situation, le besoin de partager audelà des différences.
découvrir l'émotion, être toucher, découvrir "l'amour" et donner crédit à ceux qui disent si niaisement "l'amour est la plus grande des puissance":
parce qu'on ne réfléchit pas, on avance avec notre coeur de "tout seul" vers l'autre, un don fort comme son contraire: un désir soudain.
passer deux heures à être inspirée sur un texte, tout fonctionne bien, les mots surgissent, l'effort est un plaisir, ce soir ça roule, et en plus vouloir épater les gens avec.
dextérisés depuis une semaine, déjà une saison et demie, le masque, le côté sombre, reprit à mon compte, au compte de tous en fait.
réécouter "i want you" et ressentir la même émotion qu'il y a 7 ans, lorsqu'on s'est rencontrés...c'est si bon.
avoir eu tellement peur d'avoir réussi à gober des illusions préparées pour se donner de l'espoir, déprimée par la suite. rectifier le tir, et ce soir je lis: "la meilleure façon de réaliser ses rêves est de se réveiller" (paul valéry). je suis au courant, j'ai un bon copain pour ça, merci d'ailleurs.
diam's a dit "bipolaire" dans sa chanson de 10 mn, c'est comme être très terre à terre, mais complètement rêveuse? comme moi?  le cul entre le ciel et la terre, pas si bizarre que ça en fin de compte. pour keny arkana la fomule c'est 'entre ciment et belle étoile'...à vous de trouver la votre
Chi va piano va sano,
putain d'angoisse, j'espère qu'y a qq personnes qui s'arrêtent parcourir mon blog, pourquoi j'ai fait un blog au fait? un énième carnet, mais virtuel cette fois, et consultable attention, ben, si un de vous chers inconnus qui venez si rares par ici, veut dire "hi!" go ahead...  or if u have nothing to say, better be quiet. i changed my mind.
 Chi va piano va sano
(la stabilité recherchée par le sens profond de ce proverbe s'oppose clairement au désordre de ce petit article. peut-on en conclure que cette personne, moi, est encore loin de l'objectif recherché par le titre de son article?)
cet adage évoque les traces laissées par l'émotion ressentie à sa lecture, laisser le temps au temps, s'offrir ce trésor, et être tranquille, ça doit être la première étape, celle de départ.


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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 17:51
                     "  Du livre de l'existence nous serons effacés, c'est inévitable
         Dans les griffes de la mort nous aurons notre ruine, c'est inévitable
                              Trouve dans ton temps de vie un instant pour vivre ta vie
            Tu n'es pas une herbe d'agrément qu'on détache et qu'on replante.  "

"  Si, aujourd'hui que tu es en possession de toi-même,
   Tu ne sais rien,
   Que sauras-tu demain,
   Quand, mort, tu seras sorti de toi-même?  "

  "   Le bijou de mon individualisme, contre aucun argent je ne le donnerai
                        Mes souffrances individuelles, contre aucun baume je ne les donnerai
       La poussière sous ta porte, ô ma jolie, contre l'empire de Djan je ne la donnerai
                         Un seul de tes cheveux, contre la terre, contre la mer, je ne le donnerai.  "

"   Bois du vin ! Longtemps tu dormiras sous la glaise
    Sans ami, sans compagnon,  sans camarade, sans épouse !
    Ecoute la parole sincère de Khayam:
    Bois du vin ! sois un coquin ! Fais du bien !  "
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 10:49
CHACUN A SES FORCES ET SES QUALITES UNIQUES.
POURQUOI S'OCCUPER DU RESPECT OU DU MEPRIS DES AUTRES ?
CELUI QUI VIT SELON LES VALEURS DES AUTRES
MOURRA SÛREMENT DE SON PROPRE MECONTENTEMENT.
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